Meine Lieben,
Freiheit, noch nie fühlte sich der Begriff so wichtig, wie jetzt an. Es war doch immer nur ein schönes Wort. Es traf mich in Gedichten, in Liedern, in Filmen und Geschichten. Ja, die Freiheit ist immer wichtig, doch habe ich sie bisher nicht so zu schätzen gewusst, wie es ihrer angemessen gewesen wäre. Aber nun, wenn sie gewaltvoll entrissen wird, spüre ich den Schmerz des Verlustes.
Die Gedanken sind frei … Ich wuchs mit dem Lied auf. Es ging
mir in Fleisch und Blut über. Nun sind noch nicht einmal die Gedanken mehr
frei. Sie können gezielt gesteuert und manipuliert werden. Es gibt bereits
schon ganz andere Möglichkeiten Gedanken zu lesen, mit ihnen zu arbeiten.
Ich selbst schrieb ja bereits Geschichten darüber. Ja,
Geschichten und nun werden und sind sie Realität.
Unseren inneren Frieden kann uns niemand nehmen!
Ich möchte dir hier
einen kleinen Ausschnitt aus meinem neuesten Projekt vorstellen.
Vorago
-ville de la peur-
Bang ! La porte
grinçante du Silverlight s'est refermée en claquant bruyamment derrière moi.
J'avais envie de lui redonner encore un bon coup de pied à cette porte,
tellement j’étais en colère. Jack, mon patron, ce fumier, venait de me
renvoyer. Pendant dix ans j'avais travaillé dans sa boîte de nuit à montrer mes
nichons à des sales types aux portefeuilles bien
garnis. Maintenant, je n’intéressais plus.
Je me retournai pour jeter un dernier regard
et m’engouffrai dans les rues sinueuses de Vorago.
Vorago signifie abîme et cette description allait bien à la
ville détruite, dont les vestiges ne
manquaient pas de rappeler une époque glorieuse qu'aucun des habitants actuels
n'avait eu l’occasion de connaître. Cet endroit était un
pitoyable trou à rats, un
Moloch puant, dont le corps pourri crachait les
créatures les plus sinistres. Ici régnaient les lois de la jungle. C’est-à-dire manger et être mangé.
J'étais l'une de ces créatures. Je
suis née à New Waterloo, la capitale de notre
monde reconstruit. Quelque chose s'était mal passé
avec ma fécondation in-vitro et je suis née albinos.
J'ai eu de la chance dans mon malheur : Mira, la femme médecin
chargée de m'éliminer à cause de mon défaut génétique,
n'avait pas eu le cœur de faire ça. En raison de son travail, Mira n'avait pas le droit de se marier ni
d’avoir d’enfants. À cet égard, des lois strictes prévalaient qui ne laissaient
aucune place à la négociation.
Mira avait abandonné son ancienne vie à cause de moi. Nous
nous sommes échouées à Vorago. Ici, les lois de New
Waterloo ne comptaient pas, mais en revanche, d'autres dangers nous guettaient à chaque recoin et à chacun de nos
pas.
Mira ne trouva pas de nouvel emploi en tant que médecin.
Ici, quasiment personne n’avait les moyens de se payer un médecin. Elle s'est
donc retrouvée au « Silverlight » à ce moment-là. Mira a tout fait
pour moi. Je l'appelais maman.
Ça me fait toujours mal quand je pense à elle. Maintenant, je n'ai plus personne car ma Mira avait disparu sans laisser de traces
quand j'avais quatorze ans. Dieu merci, elle m'avait appris à danser. J’avais
été autorisée à combler la place vide qu’elle avait laissée dans
l’établissement de Jack. Jusqu’à ce jour, celui-ci m'a
mise en valeur en m’annonçant comme un numéro spécial. Avec mes cheveux blond
platine, mon teint frais et mes yeux presque
rougeâtres, j'avais le talent de fasciner les hommes.
Alors qu'un vent de tempête m’emportait les cheveux, je repensais aux
dernières remarques de Jack. « Parcy, ça ne peut
pas continuer comme ça. C'est la troisième fois cette semaine que tu t'écroules devant mes clients. Regarde-toi. Tu n’as
que la peau sur les os. Pas beau à voir pour les hommes. Ils veulent en
avoir pour leur argent et voir des formes. J'ai besoin
de viande fraîche pour ma boîte, pas d'un sac d’os comme toi. Trouve-toi un
autre boulot, ou alors autant te tirer une balle tout de suite. »
« Quel connard ! » Je fis
voltiger une pierre de l'autre côté de la rue
d'un coup de pied furieux.
Facile à
dire. « Cherche-toi un autre boulot », dis-je en le singeant. À part la danse, je n'avais rien appris. De
plus, le « Silverlight » était le seul club de la ville. Bordel !
À 24 ans, j'étais désormais bonne à
mettre au rancart. Peu de personnes âgées vivaient dans
cette ville. Elles mouraient de faim ou emportées par des maladies.
J’avais entendu parler de ce que l’on appelait autrefois la retraite.
Quelle époque merveilleuse cela avait dû être de recevoir de l'argent à ne rien
faire !
Jack m'avait acheté un repas avant de me virer. C'était tout !
Désemparée, j’errai dans un quartier particulièrement délabré. Espérons
qu'aucun gang de rue ne se pointe. Les chasseurs de viande sont très dangereux.
Je portai la main à ma ceinture afin de m'assurer que mon pistolet se
trouvait en place, prêt à être dégainé.
« Si je me fais tuer, je serai débarrassée de tous mes soucis. Et je
n'aurai plus à chercher un nouvel emploi. », me dis-je afin de me donner
du courage.
« Hé ! »
Je
sursautai de frayeur en entendant la voix parvenant d'un coin sombre à droite.
D’instinct, je dégainai mon arme. Les bandits de grand chemin étaient encore
plus dangereux que les animaux sauvages.
Garde ton
calme !,
m’intimai-je. Ne te mets pas à paniquer
maintenant. S’il le faut, tu le frappes, ou la frappes, tout simplement !
La voix appartenait à une silhouette qui se dirigeait lentement vers moi et
me dominait de deux têtes. Elle cachait son visage sous une cape à capuche
noire. « Hé », chuinta la voix
encore une fois dans ma direction.
« Qu’est-ce que tu veux ? » Je voulais avoir l’air
menaçante.
Avant que je ne le réalise, surgit devant moi dans un éclair le canon d’un
pistolet.
« J’ai pas d’argent. »
Sa réaction sembla s’éterniser, et j'envisageai sérieusement d'appuyer sur
la détente de mon pistolet.
« D’accord. Je pense que nous pouvons ranger les flingues. Je suis
venu te parler parce que je voulais te demander quelque chose. Nous nous
connaissons du « Silverlight ». J’ai besoin de quelqu’un tout de
suite. » La voix appartenait manifestement à un homme.
Je connaissais suffisamment ce genre d’offres pour avoir fréquenté la boîte de nuit.
« M’intéresse pas !», répondis-je courageusement.
La capuche glissa en arrière. Une grimace édentée me sourit lugubrement. Il
était bel et bien un client du « Silverlight » et il m’avait dévorée
des yeux plus d’une fois. Il était là tous les vendredis et se remplissait de
whisky hors de prix. Il ne doit pas être
pauvre ! Pourquoi ne va-t-il pas dans une maison de passe, s’il en a
tellement besoin ?, me demandai-je.
« Je pense que tu te trompes, ma
petite ». Bien que tu sois une vraie bombe. Mais
comme je l’ai dit, je n’ai pas de temps à perdre. En tout cas pas aujourd’hui.
Je cherche des contacts. Ça va payer si tu m’aides. « Il me faut un homme
avec son propre bunker. »
« J’ai un homme, et nous avons un bunker. » Qu’est- ce qui me
prend de lui raconter ce mensonge
débile ? D’ailleurs pourquoi a-t-il besoin d’un homme avec un
bunker ? Qu’est-ce que ça cache ?
Là, ma pensée suivante s’orienta vers l’attrait de l’argent. Par
ailleurs, je ne veux pas laisser
entrevoir à Mister Crâne Chauve que je suis
célibataire.
« Tant mieux. Je n’ai que faire d’une fille faible comme
toi. Tu n’y arriverais pas », m’expliqua-t-il d’un
ton cynique.
Je ne comprenais pas. De quel
genre de boulot parle-t-il ? « Que
devra faire mon homme et qu’avons-nous à y gagner ? », lui demandai-je d’un ton prudemment détaché.
Son rictus arrogant ne le rendait en rien plus sympathique. Il se passa la
main sur sa tête chauve croûteuse. Je détournai le regard avec dégoût.
« J’ai besoin de quelqu’un pour dépecer un cadavre frais. Tu crois que
ton mec en est capable ? »
ganz bald im Handel.
Die gemeinsame Arbeit an diesem Projekt ist ein Lichtblick in dieser stürmischen Zeit. Ich freue mich riesig. Nun gibt es Vorago in deutsch (Hörbuch, Taschenbuch und E-book), englisch und auch bald in französisch. Vielen Dank an die talentierte Künstlerin Stéphanie, die den Text sehr gefühlvoll übersetzt hat.
Zum Abschluß möchte ich dir auch noch etwas zum morgigen Portaltag sagen.
Es ist der erste Portaltag im Dezember 2021.
Dieser Tag steht auch ganz im Zeichen der Freiheit. Die Freiheit in all ihren Facetten. Das können revolutionäre Elemente sein und es geht auch um deine persönliche Freiheit. Du hast die große Chance dich von alten Glaubensmustern loszureißen und endlich deinen eigenen Weg zu gehen. Morgen fühlst du die Kraft und den Mut deine Grenzen zu überschreiten. Wenn du magst, überprüfe den Begriff „Freiheit“ für dich. Bitte mache dir bewusst, dass Glaubenssätze die Realität maßgeblich kreieren.
Hier ein paar Affirmationen, die dir dabei helfen können:
Ich bin frei und im Vertrauen!
Wir Menschen sind alle frei!
Wir Menschen leben in Frieden auf der Welt!
Wir Menschen nutzen unsere Potentiale gemeinsam!
Wir Menschen sind nicht gespalten!
Ich danke den Künstlern von pixabay für die wundervollen Bilder, der Autorin Carola Kickers für die Gestaltung der neuen Cover. Vor allen Dingen danke ich dir! Fühle die Freiheit, fühle den Frieden und das Glück, dass deshalb durch deine Adern strömt. Es erfüllt dich mit neuer Lebenskraft.
Alles Liebe
Deine Tali 🌹
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